LE DEBORDEMENT DE LA SEINE
Quartier de la Borde
à Montesson
240406 Le 6 avril 2024 - Pompe de la station Laforge rejetant, non pas comme
prévu de l'eau de pluie, mais de l'eau des égouts mélangée
à de l'eau de Seine, comme le prouve la couleur de l'eau rejetée. 240414 QVLB a étudié et dispose d'une explication sur "pourquoi 'un rejet d'eau polluée dans la Seine en période de crue". Une réunion est prévue en Mairie. |
BONNE NOUVELLE POUR LES RIVERAINS DE LA SEINE A LA BORDE201115 LA DIGUE EST OPÉRATIONNELLE Cette digue, en amont de celle de SARTROUVILE protège des crues trentenaires - référence 1955. Ce que le Président de QVLB écrivait dans la lettre du CADEB de juin 2014 n°52 "L'association Qualité de Vie de la Borde à Montesson, rejointe par le Cadeb, soutient la demande des riverains depuis 1993 et a réussi à convaincre les élus des deux communes ainsi que le Préfet des Yvelines (en 2001) du bien fondé de la demande de protection contre les crues." L'ouvrage a une longueur de 740 m et sera de même conception que celui de Sartrouville, le maître d'ouvrage étant le même. La cote de protection est référencée à la crue de 1955 à 25,50m, soit une hauteur moyenne de la digue d'1,20 m par rapport au niveau de la route. Pour mémoire, QVLB avait demandé cette digue en 1993 voir dossier réalisé en mars 1993 ainsi que courrier du 29 octobre 1993 au conseiller général Jean-François BEL
Ne jamais oublier que cette digue ne protège pas des crues référence 1910 |
Montesson Mag - décembre 2021 Disponible sur le site de la Mairie de Montesson |
HISTORIQUE En 1983, l'Union Féminine Civique et Sociale organise une exposition sur les inondatons à La Borde |
Pour mémoire, QVLB demande une digue en 1993 voir dossier réalisé en mars 1993 ainsi que courrier du 29 octobre 1993 au conseiller général Jean-François BEL |
En 2002
soit une attente des riverains de plus de 30 ans (quelques années !!!) |
211028 |
Vu sur le quai George SAND210413 Situation du siège social de QVLB en cas d'inondation type 1910 Utilisation du site www.episeine.fr |
La digue - son efficacité Information transmise à Mme le Maire de Montesson210302 |
9 février 2021 Vous trouverez un article sur la digue de Montesson210209 Yvelines. Montesson : la crue de la Seine n'inquiète plus les habitants de La Borde https://actu.fr//ile-de-france/montesson_78418/yvelines-montesson-la-crue-de-la-seine-n-inquiete-plus-les-habitants-de-la-borde_39299634.html
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4 février 2021 La digue protège le quartier de La Borde. Les pompes rejettent l'eau dans la Seine Le promontoire est encore hors d'eau. |
Février 2021 LA SEINE MONTE A MONTESSON210202 France 3 Paris Ile-de-France reportage sur la digue de Montesson en présence de Mme le Maire Nicole Bristol Pour revoir le journal https://france3-regions.francetvinfo.fr/paris-ile-de-france/emissions/jt-1920-paris-ile-de-france Jean-Baptiste Baroni Conseiller municipal délégué
pour la cohésion et la dynamisation des quartiers |
2020 - fin décembre
BONNE NOUVELLE POUR LES RIVERAINS DE LA SEINE A LA BORDE201115 LA DIGUE EST OPÉRATIONNELLE Cette digue, en amont de celle de SARTROUVILE protège des crues trentenaires - référence 1955. Ce que le Président de QVLB écrivait dans la lettre du CADEB de juin 2014 n°52 "L'association Qualité de Vie de la Borde à Montesson, rejointe par le Cadeb, soutient la demande des riverains depuis 1993 et a réussi à convaincre les élus des deux communes ainsi que le Préfet des Yvelines (en 2001) du bien fondé de la demande de protection contre les crues." L'ouvrage a une longueur de 740 m et sera de même conception que celui de Sartrouville, le maître d'ouvrage étant le même. La cote de protection est référencée à la crue de 1955 à 25,50m, soit une hauteur moyenne de la digue d'1,20 m par rapport au niveau de la route. Pour mémoire, QVLB avait demandé cette digue en 1993 voir dossier réalisé en mars 1993 ainsi que courrier du 29 octobre 1993 au conseiller général Jean-François BEL
Ne jamais oublier que cette digue ne protège pas des crues référence 1910 |
19 décembre 2019 Zone humide d'intérêt écologique Dernier coup de pelleteuse La connexion avec la Seine est effective. QVLB assistait à cet évènement.191220 |
Recopier le lien pour accéder au fim
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REPORTAGE FR3 SUR LA DIGUE DE MONTESSON200130 Recopier le lien pour accéder au reportage |
10 janvier 2019181231 - Inauguration démarrage des travaux de la digue de Montesson Notre association demande depuis 1993 que l'on étudie et réalise une protection efficace contre les débordements de La Seine afin de répondre au principe d'égalité de traitement des citoyens : Un dossier a été remis à la municipalité en 1994 (une copie est disponible sur demande) Citation de Michel BARNIER, Ministrede l'Environnement - 1995) " Quand il y a 36 communesle long d'une rivière, il n'y a pas 36 manières de protéger" QVLB remercie Monsieur Jean-François BEL. Il a toujours soutenu notre demande |
Ou s'informer en cas de crue en Ile-de-France
Annonce des crues en Ile de France
1993 - Consultez notre dossier
2001 - La décision du 26 septembre
2001 - L'avancement du dossier
2002 - Le soutien du CADEB en mars
2002 - Une nouvelle loi sur l'eau est en cours d'élaboration
2002 - Compte rendu du comité consultatif de l'équipement et de l'environnement du mardi 16 avril
2006 - L'enquête publique PPRI est terminée depuis le 13 juillet (voir nos différents courriers en 2005 et 2006)
2007 - Le rapport de la commission d'enquête est rendu public
2014 - Article de presse - février - " les francilines doivent se préparer au risque d'une crue centennale - .pdf
2016 - La digue est toujours bloquée par les services du département et de la région
2016 - INONDATION - 4 juin 2016 - Quai George Sand - Montesson
2017 - Enquête publique - digue de Montesson " prolongement de la digue de Sartrouville"
2018 - INONDATIONS - janvier - février
2018 - INONDATIONS - reportage TF1 (disponible sur demande)
2018 - INONDATIONS - ETAT DE CATASTROPHE NATURELLE
2018 - INONDATIONS - retour d'expérience - .pdf
2018 - INAUGURATION D' UN POSTE DE DISTRIBUTION D'ELECTRICITE ( déplacement du transformateur)
Pour surveiller les caprices de la Seine vous pouvez consulter :
Annonce des crues en Ile de France
Depuis des décennies les riverains de la Seine à Montesson La Borde subissent les crues du fleuve. Cela représente outre l'angoisse de la population, un véritable danger pour les habitants des pavillons concernés. Plusieurs drames ont pu être évités de justesse.
Les inondations successives fragilisent les fondations des pavillons. L'absence de protection oblige, chaque propriétaire concerné, à utiliser des pompes pour évacuer les eaux d'infiltration dans un premier temps, puis les eaux de débordement. Cette pratique sape les fondations des habitations mais est indispensable pour tenter de se maintenir hors d'eau lors des crues de faible amplitude, ou retarder le moment de l'évacuation comme en 1982.
Nous ne pouvons comprendre ni admettre l'absence de protection des 700 m de zone urbanisée à Montesson, alors que la commune mitoyenne de Sartrouville possède une digue sur toute la longueur de la rive, ce qui met les pavillons riverains à l'abri des inondations.
La Seine est de plus en plus sensible aux précipitations. Un simple orage peut faire monter son niveau d'une façon importante, ce qui n'était pas le cas il y a 10 ans. L'île de La Borde, surélevée illégalement et dont la remise à son état primitif est improbable, est un danger supplémentaire en cas de crue. Loin de s'améliorer, la situation s'est aggravée d'année en année.
Message "Voisins vigilants" " Pourquoi
la digue de Montesson n'a-t-elle pas été réalisée
en même temps que celle de Sartrouville ??? HISTORIQUE DIGUE A MONTESSON 1993 QVLB demande une protection contre les inondations Les réponses que nous obtenons sont édifiantes.180301 |
Monsieur Jean-François BEL, conseiller général des Yvelines en 1993, entend et soutient notre demande. Nos bulletins de 1993
Consultez également le dossier Nous espérons une digue pour 2019 ou 2020 |
SUIVI DU DOSSIER
1993 - Consultez notre dossier
Nous avons édité en mars 1993 un
DOSSIER INTITULE
Nécessité d'une protection du quartier de la Borde contre les inondations.
Il est toujours d'actualité en 2018.
Notre association demande depuis 1993 que l'on étudie et réalise une protection efficace contre les débordements de La Seine afin de répondre au principe d'égalité de traitement des citoyens :
Un dossier a été remis à la municipalité en 1994 (une copie est disponible sur demande)
Citation de Michel BARNIER, Ministre de l'Environnement - 1995)
" Quand il y a 36 communes le long d'une rivière, il n'y a pas 36 manières de protéger"
2000 - Enquête d'utilité publique
Dans le cadre de l'enquête publique du 17 avril au 4 mai 2000, l'association Qualité de Vie de La Borde exprime sa position dans un courrier transmis au commissaire enquêteur.
Le commissaire-enquêteur donne un avis défavorable
à l'autorisation et à la déclaration d'intérêt général demandées, selon le projet
mis à l'enquête publique (conclusions datée du 5 juillet
2000).
Cette avis défavorable a pour conséquence de continuer à exposer les habitants du quartier au risque quasi annuel d'inondation par infiltration ou débordement des eaux de la Seine.
Après l'inondation du quartier de Mars 2001, l'association remet un courrier le 28 mars 2001 à Monsieur le Préfet des Yvelines. Elle demande que notre commune obtienne les autorisations administratives nécessaires pour engager les travaux de protection.
M. le Maire de Sartrouville, après une réunion de travail le 17 mai 2001, adresse un courrier à M. le Préfet des Yvelines.
Nous renouvelons notre demande à Monsieur le Préfet des Yvelines le 17 septembre 2001
2001 - La décision du 26 septembre
Messieurs Jean-François BEL, Maire de Montesson, Conseiller général et Monsieur Pierre FOND, Maire de Sartrouville, Conseiller général, sont reçus par Monsieur le Préfet des Yvelines.
Monsieur le Préfet décide :
Pour SARTROUVILLE, la partie faible de la digue ( crue de mars 2001) sera expertisée et fera l'objet de travaux.
Pour MONTESSON, une étude sera engagée pour une meilleure protection du quartier de la Borde.
2001 - L'avancement du dossier
Nous écrivons à Monsieur le Maire de Montesson en novembre 2001
Nous proposons que l'étude soit menée pour une protection à une cote identique à celle de Sartrouville, soit de l'ordre de 25,50m et non 24,71 m comme cela avait été envisagé.
photo de novembre 2001
Jacques PERDEREAU (vice président) indique, avec la main gauche, la cote 25,50 m à la limite Montesson - Sartrouville. (Un mur est érigé à cet endroit lorsque les eaux de la Seine débordent et menacent le quartier des Dix Arpents à Sartrouville).
Le 6 janvier 2002, Monsieur le Maire de Montesson annonce officiellement que l'étude est en cours, des travaux de réhabilitation des égoûts seront nécessaires avant toute protection.
La réhabilitation des égoûts est en cours ( décembre 2001 - janvier 2002 - rue Corneille)
Attention
- La Seine est proche
|
Coucher de soleil quai George Sand |
Une enquête d'utilité publique va être organisée en 2002.
2002 - Le soutien du CADEB en mars
Le CADEB ( Collectif d'associations pour la défense de l'environnement dans la boucle de Montesson ) écrit à Monsieur le Préfet des Yvelines pour soutenir la demande de protection du quartier de la Borde contre le débordement de la Seine. Courrier du 25 mars 2002
2002 - Une nouvelle loi sur l'eau est en cours d'élaboration
Voir : Le projet de loi portant réforme de la politique de l'eau
Voir : Projet de loi adopté par l'assemblée nationale - janvier 2002
Compte rendu du comité consultatif de l'équipement et de l'environnement du mardi 16 avril 2002
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2005 - Proposition de loi tendant à modifier les conditions d'élaboration des plans de prévention des risques naturels prévisibles relatifs aux inondations (P.P.R.I.)
N° 496
SÉNAT
SESSION EXTRAORDINAIRE DE 2004-2005
Rattaché pour ordre au procès-verbal de la séance du 13
juillet 2005Enregistré à la Présidence du Sénat
le 16 août 2005
PROPOSITION DE LOI
tendant à modifier les conditions d'élaboration des plans de prévention
des risques naturels prévisibles relatifs aux inondations (P.P.R.I.),
PRÉSENTÉE
Par M. Alain DUFAUT,
Sénateur.
(Renvoyée à la commission des Affaires économiques et du
Plan, sous réserve de la constitution éventuelle d'une commission
spéciale dans les conditions prévues par le Règlement.)
Risques naturels.
EXPOSÉ DES MOTIFS
Mesdames, Messieurs,
Depuis 2002, à l'Assemblée Nationale, un Groupe d'Études
sur les Inondations a travaillé activement sur le dossier des risques
naturels et de leur prévention. Au cours de ses travaux, il a pu mettre
en évidence de nombreux problèmes et dysfonctionnements dans la
mise en oeuvre pratique des Plans de Prévention du Risque Inondation
(P.P.R.I.).
Le Sénat, dont la vocation première est de représenter
les collectivités locales au sein du Parlement, ne peut rester insensible
face à ces difficultés. En effet, la mise en place des P.P.R.I.
pénalise souvent lourdement l'aménagement des territoires et compromet,
pour certains, leur développement économique - ce qui est mal
ressenti par les élus locaux, au premier rang desquels les maires.
Sur le terrain, et notamment dans les départements frappés récemment
par des inondations comme le Gard, la Somme, le Vaucluse, tous les témoignages
des élus concordent quant à l'importance à accorder à
la prévention des risques. Mais, les intéressés soulignent,
d'une part, que la mise en oeuvre des P.P.R.I. n'est pas du tout satisfaisante
par excès de précaution et de formalisme et regrettent, d'autre
part, l'absence de lien entre cette mise en oeuvre et l'amélioration
effective des conditions de sécurité.
La loi n° 95-101 du 2 février 1995, dite loi " Barnier ",
a créé un chapitre intitulé " Mesures de sauvegarde
des populations menacées par certains risques naturels majeurs ",
désormais codifié aux articles L. 562-1 et suivants du code de
l'environnement. Ces dispositions permettent, dans les zones de population menacées
par un risque naturel prévisible, de mettre en place des plans de prévention
des risques (P.P.R.) qui comprennent diverses mesures de protection, de prévention
et de sauvegarde. Or, lorsqu'un P.P.R. a pour objet la prévention des
inondations (P.P.R.I.), ces mesures se résument, dans la majorité
des cas, à l'établissement de servitudes restrictives en matière
d'usage de sol qui conduisent à des diminutions conséquentes des
zones constructibles.
Le constat est inquiétant :
- dans l'ensemble, les P.P.R.I. n'améliorent pas les conditions de sécurité
dans les secteurs inondables, car ils ne traitent ni de protection, ni de prévention
ou de sauvegarde, contrairement aux voeux du législateur ;
- ils sont élaborés sans véritable concertation avec les
élus qui sont pourtant responsables de la sécurité de leurs
concitoyens. De la sorte, ils sont vécus très souvent comme une
agression. En effet, des études techniques sont effectuées sur
les communes par des bureaux d'études mandatés par les administrations
de l'État, sans que les Maires en soient même informés ;
les résultats sont envoyés par simple courrier sans tenir compte
des projets de développement en cours, projets dont la dynamique est
renforcée par les dernières lois de décentralisation. Les
Maires ont ainsi le sentiment que le débat est tronqué et que
la concertation n'existe pas. Leurs argumentaires basés sur la connaissance
locale des intempéries et des crues butent contre le mur de " certitudes
" des fonctionnaires départementaux de la D.D.E. ou de la D.D.A.,
qui s'appuient sur des dossiers élaborés, par des techniciens,
le plus souvent, étrangers au département. Pire, dans certaines
situations, on voit ressurgir une tutelle des administrations sur le développement
urbanistique des collectivités par l'intermédiaire des P.P.R.I.
qui ne sont pas conçus comme un outil d'aide à la prévention
des risques. En conséquence, il semble fondamental, dans l'esprit des
lois de décentralisation, que les dispositions des P.P.R.I.soient établies
dans le cadre d'une compétence " partagée " et que les
collectivités ne soient plus consultées pour avis " simple
" mais pour avis " conforme ". Dans cette hypothèse, il
est légitime, et les élus locaux sont prêts à l'assumer,
que la responsabilité des décisions relatives au P.P.R.I. soit
elle aussi partagée (entre les élus et le préfet) ;
- finalement, les P.P.R.I. se révèlent, dans la majorité
des cas, être des moyens de protection pour les administrations qui les
instruisent. Ils prévoient des dispositions standard, résultant
de paramètres saisis sur ordinateur par des bureaux d'études extérieurs,
paramètres inhérents à la crue centennale et ceci pour
définir, après, par calcul, l'impact sur des cartes communales
altimétriques sans tenir compte de ce qui se passerait réellement
sur le terrain en cas de fortes précipitations.
Un des reproches majeurs fait à la méthode est, ainsi, l'absence
de considération de la connaissance des élus, des anciens et des
archives communales, dans l'incidence éventuelle des crues ou de fortes
précipitations sur le relief du territoire communal.
À l'évidence, les dispositions standard retenues se révèlent
sans commune mesure avec la gravité et l'intensité des situations
à risque.
D'autre part, les P.P.R.I. sont instruits actuellement dans une logique définitive
considérant le risque comme fatal. Au contraire, le législateur
a prévu que les P.P.R.I. soient révisables à mesure que
les dispositions effectives mises en place améliorent les conditions
de sécurité. Il faut donc que les travaux réalisés
qui permettent de lutter efficacement contre le risque inondation soient pris
en compte dans la mise en oeuvre des P.P.R.I.
Enfin, force est de constater que peu de départements ont connu une mise
en place concertée de leur P.P.R.I. permettant aux élus et à
l'administration de s'accorder sur les niveaux de risques admissibles, sur les
voies d'amélioration des conditions de sécurité dans les
secteurs exposés, sur le caractère progressif et réaliste
des prescriptions.
La concertation et la primauté du rôle des élus locaux quant
aux positions et dispositions à prendre doivent être recherchées
avant tout. La prise en compte du risque doit pouvoir se faire dans la perspective
du développement du territoire et non indépendamment de lui. Un
guide sur la concertation pour l'élaboration des P.P.R. a d'ailleurs
été conçu par le Ministère de l'écologie
et du développement durable à l'attention de ses services. Il
n'a malheureusement fait l'objet d'aucune diffusion significative, d'aucune
formation des services concernés et n'est, de fait, pas utilisé.
C'est pourquoi, nous proposons un meilleur encadrement de la procédure
de concertation qui serait globalement définie par un décret (qui
pourrait d'ailleurs reprendre les prescriptions du guide méthodologique)
puis déclinée localement.
Des moyens adaptés à la situation de risque doivent être
recherchés afin de permettre une véritable prévention à
laquelle tous les citoyens doivent pouvoir prétendre. Des solutions techniques
efficaces existent. Si ces travaux sont conformes aux règles légales
d'aménagement des cours d'eau et ne s'avèrent pas excessifs par
rapport aux capacités financières des collectivités locales,
il faut absolument qu'aucune barrière administrative (ou idéologique)
ne vienne les empêcher ou retarder.
Il en va de même pour les P.P.R.I. liés au lit moyen des rivières
protégé par des digues. On ne peut pas sérieusement interdire
à la construction des zones riveraines, sous prétexte qu'elles
risqueraient d'être inondées en cas de rupture des digues. Dans
cette hypothèse, qui pénalise des milliers d'hectares de zones
d'activité en bordure des fleuves et des rivières, on peut sérieusement
se demander pourquoi les anciens ont construit des digues ! Autant les élus
locaux sont prêts à s'engager sur des programmations réalistes
d'entretien et de réfection des digues existantes, autant ils ne peuvent
tolérer qu'un principe de prévention poussé à la
limite de l'absurde compromette de manière irréversible le développement
économique de leur territoire.
Cette proposition de loi vise donc avant tout à améliorer les
conditions de sécurité pour les personnes et les biens exposés
au risque d'inondation. Cela passe par le rétablissement effectif de
la concertation entre élus (responsables légitimes devant leurs
administrés) et administration. Et, en cas de conflit, ce sera au juge
administratif de trancher. Les acteurs doivent se retrouver côte à
côte face au risque et non face à face avec le risque comme sujet
de discorde.
Tel est l'objet de la proposition de loi que nous vous prions, Mesdames, Messieurs,
de bien vouloir adopter.
PROPOSITION DE LOI
Article unique
L'article L. 562-3 du code de l'environnement est ainsi rédigé
:
" Art. L. 562-3 - Le préfet définit les modalités
de la concertation relative à l'élaboration du projet de plan
de prévention des risques naturels prévisibles avec les collectivités
locales et les établissements publics de coopération intercommunale
concernés, dans le respect de prescriptions générales définies
par décret.
" Les personnels en charge de l'instruction reçoivent une formation
à la concertation, nécessaire à l'élaboration de
ces plans.
" Le Préfet procède à l'élaboration du projet
de plan de prévention des risques naturels prévisibles en concertation
avec les représentants des collectivités territoriales et des
établissements publics de coopération intercommunale concernés.
" Lorsqu'il a pour objet la prévention des risques d'inondations,
le projet de plan est soumis à l'avis conforme des organes délibérants
des collectivités territoriales et des établissements publics
de coopération intercommunale concernés.
" Le projet de plan et ses annexes sont soumis à une enquête
publique menée dans les conditions prévues aux articles L. 123-1
et suivants. Au cours de cette enquête, sont entendus, après avis
conforme de leur conseil municipal, les maires des communes sur le territoire
desquelles le plan doit s'appliquer.
" A l'issue de l'enquête publique, le plan de prévention des
risques naturels prévisibles est approuvé par arrêté
préfectoral.
" Lorsque le plan a pour objet la prévention de risques inondation,
cet arrêté ne peut être pris qu'après une réunion
tendant à permettre au Préfet et aux représentants visés
au premier alinéa du présent article, de se concerter sur les
suites à donner au rapport et aux conclusions motivées du commissaire
enquêteur. Au cours de cette réunion sont considérés
le caractère réaliste des mesures envisagées et leur proportionnalité
par rapport à la gravité et l'intensité du risque ainsi
que les modalités et conditions de révision du plan de prévention
des risques (P.P.R.).
" Les élus locaux associés à l'élaboration
du plan de prévention des risques inondation assument, avec le préfet,
la responsabilité des conséquences dudit plan. "
_____________________________________________
(plan de prévention des risques d'inondations Yvelines)
Extrait du 170304 du site
L'ENQUÊTE PUBLIQUE
concernant la vallée de la Seine et de l'Oise dans les Yvelines)
s'est terminée
le 13 juillet 2006 à 17 heures
dans toutes les communes concernées
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Un blog a existé sur le PPRI.
Consultez et intervenez. Ce blog n'existe plus - ma 170303
IMPORTANT - plus de 200 familles sont concernées à Montesson
Révision du plan de prévention des risques d'inondation ( PPRI)
concernant la vallée de la Seine et de l'Oise dans les Yvelines
Enquête publique du 1er juin au 13 juillet 2006
Carte
au 1/2000ème exposée en Mairie de Montesson - Non contractuelle
- plan zonage réglementaire
|
Carte
au 1/2000ème exposée en Mairie de Montesson - Non contractuelle
- carte aléas hydrauliques
|
Lettre du 20 avril à Monsieur le Préfet des Yvelines (.pdf)
Lettre du 9 octobre 2005 (.pdf)
Lettre du 9 avril 2005 (.pdf)
Notre bulletin d'information N° 60( .pdf)
Notre bulletin d'information N° 61 (.pdf)
Notre bulletin d'information N°62 (.pdf)
Notre bulletin d'information N°63 (.pdf)
et
son annexe (.pdf)
PPRI - Yvelines - Règlement (.pdf)
PPRI - Hauts de Seine (.pdf)
--------------------------
notre position et propositions - (pdf - 63ko)
2007 - Le rapport de la commission d'enquête est rendu public
Extraits de ce rapport ( .pdf)
2016 - La digue est toujours bloquée par les services du département et de la région
Nos bulletins de 2001 sont toujours d'actualité La digue est toujours bloquée par les services du département et de la région |
2016 - INONDATION - 4 juin 2016 - Quai George Sand - Montesson
Notre demande est de mars 1993 Y a t-il "eu"un pilote dans l'avion? |
Monsieur le Maire de Montesson invite tous les habitants du quartier Laborde et notamment tous les riverains sinistrés du fait de la crue de la Seine : Mercredi 29 juin 2016 à 20 heures Salle Molière (conservatoire) Objet : échanges et retour d'expérience Après la réunion, ce que préconise un assureur connu |
INONDATION
- 4 juin 2016 - Quai George Sand - Montesson
|
2017 - Enquête publique - digue de Montesson " prolongement de la digue de Sartrouville"
VENEZ NOMBREUX Réunion Publique Prolongement de la digue de La Borde à Montesson Mercredi
29 mars à 20 h 30 Avenue Molière à Montesson La Borde |
ENQUÊTE PUBLIQUE - DIGUE DE MONTESSON Une première étape QVLB demande cette digue depuis 1993 |
Une enquête publique relative au prolongement de la digue de Sartouville à Montesson et la création d'une zone humide va se dérouler du 6 avril 2017 au 10 mai 2017. Les permanences du commissaire enquêteur sont les suivantes : MONTESSON (siège de l'enquête) SARTROUVILLE (centre technique municipal) |
2018 - INONDATIONS - janvier - février
INONDATIONS à MONTESSON LA BORDE le 28 janvier 2018 1 - Le mur de la honte est toujours là. ( photo prise à 700mètres) Un réel progrès - L'ancien mur (inondations juin 2016) est remplacé par un mur plus moderne avec une passerelle. 2 - La circulation des péniches n'est pas arrêtée (photo rue Corneile) |
2018 - INONDATIONS - reportage TF1 (disponible sur demande)
Crues : les digues sont-elles efficaces? Reportage TF1 https://www.tf1.fr/tf1/jt-we/videos/crues-digues-efficaces.html Face à la montée des eaux, les digues se présentent comme la meilleure solution pour épargner les villes des inondations. C'est notamment le cas à Sartrouville, dans les Yvelines. Par contre, la digue, également appelée "le mur de la honte", ne protège pas les habitants de Montesson, la ville voisine. Ce sujet a été diffusé dans le journal télévisé de 20H du 02/02/2018 présenté par Anne-Claire Coudray sur TF1. |
2018 - INONDATIONS - ETAT DE CATASTROPHE NATURELLE
De : Pôle Aménagement - Mairie
de Montesson |
Communiqué QVLB A lire dans voisins vigilants - 180217 QVLB-Inondations de La Borde - Janvier- février 2018
|
Vous pouvez
adresser vos témoignages à qvlb@qvlb-montesson.fr
.
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INONDATIONS180515 |
2018 - INONDATIONS - retour d'expérience - .pdf
2018 - INAUGURATION D' UN POSTE DE DISTRIBUTION D'ELECTRICITE ( déplacement du transformateur)
DU NOUVEAU EN 2017
ENQUÊTE PUBLIQUE - DIGUE DE MONTESSON
Une enquête publique relative au prolongement de la digue de Sartouville à Montesson et la création d'une zone humide va se dérouler du 6 avril 2017 au 10 mai 2017.
Les permanences du commissaire enquêteur sont les suivantes :
MONTESSON (siège de l'enquête)
jeudi 6 avril 2017 de 09h00 à 12h00
jeudi 27 avril 2017 de 14h30 à 17h30
mercredi 10 mai 2017 de 13h30 à 16h30
SARTROUVILLE (centre technique
municipal)
mardi 11 avril 2017 de 14h00 à 17h00
vendredi 5 mai 2017 de 14h00 à 17h00
Courrier du 12 avril 2017 à Monsieur le Commissaire enquêteur
AVIS FAVORABLE (en.pdf)
Cet aménagement est programmé en 2002 - 2003.
Il répond à un triple objectif :
- Protection des riverains contre le débordement de la Seine,
- Limitation de la circulation de transit,
- Installation d'une continuité cyclable entre le Pont du Pecq et Sartrouville.
Monsieur le Maire avait répondu en février à notre questionnaire de janvier 2001, en qualité de candidat à la Mairie de Montesson.
- Protection des riverains contre le débordement de la Seine,
- Limitation de la circulation de transit,
- Installation d'une continuité cyclable entre le Pont du Pecq et Sartrouville.
Evolution du dossier
Notre courrier du 14 juin 2001,
Le compte-rendu du comité de quartier du 13 octobre 2001,
Notre dossier : Protection des riverains contre le débordement de la Seine,
Notre bulletin d'information n°49 de décembre 2001
Compte rendu du comité consultatif de l'équipement et de l'environnement du mardi 16 avril 2002
Notre courrier du 30 mai 2002 à Monsieur le Maire
Réunion publique du 27 avril 2002
Plans
présentés pour l'aménagement du quai George Sand
- voirie et protection contre le débordement de la Seine
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de la rue Corneille
à l'avenue Molière
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de l'avenue Molière
à l'avenue Schoelcher
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de l'avenue Schoelcher
au Boulevard Robert Laforge
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du Boulevard Robert
Laforge à l'avenue Alfred de Musset
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de l'avenue Alfred
de Musset à l'avenue Léon Johnson
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de l'avenue Léon
Johnson au Boulevard Léon Blum
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Ces plans ont pu être consultés en Mairie en mai et début juin 2002. Un cahier de suggestions a été mis à la disposition du public. |
Les travaux - quai George SAND
A - Réfection des égoûts
photo du 23 mai 2002
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photos du 29 mai 2002
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Les
travaux progressent.
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Une
vue de la Seine
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photos
du 15 juin 2002
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Les
égouts (suite)
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photo du 13 juillet 2002
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Création d'une piste cyclable en bidirectionnelle - rénovation de l'éclairage public et réfection du tapis sur chaussée boulevard Robert Laforge. Coût des travaux - 993.042 euros |